Valorisation des Données issues
des Pratiques culturales Agricoles
Contexte du projet :
Le projet VDPA+ vise à mieux valoriser les données issues des pratiques culturales en France. Actuellement, ces données pourtant riches, restent largement inexploitées et inexploitables. Le manque d’un modèle de consolidation de référence, les enjeux de propriété des données et de cybersécurité ainsi que les attentes croissantes en matière d’optimisation des pratiques agricoles soulignent l’importance de valoriser ces données pour le bénéfice du monde agricole.
Les données issues des pratiques
culturales restent largement
inexploitées et inexploitables…
Objectifs du projet :
Le projet a pour principal objectif de mieux qualifier les données des pratiques agricoles en identifiant les débouchés potentiels, en définissant un modèle économique adapté et en garantissant la sécurité des données. A moyen terme (3 à 5 ans), le projet vise à explorer le marché et la structuration de la donnée agricole collectée en mettant en évidence les opportunités et les perspectives de développement dans ce domaine.
Résultats attendus :
Grâce à la réalisation du projet VDPA+, nous espérons obtenir les résultats suivants :
- Un état des lieux détaillé des plateformes de consolidation de données agricoles existantes en France, en Europe et aux États-Unis, mettant en évidence les forces, les faiblesses et les opportunités de ces plateformes.
- Une cartographie des données disponibles concernant les pratiques agricoles, permettant de mieux comprendre leur nature, leur volume et leur potentiel d’utilisation.
- Une évaluation économique de la valeur des données en fonction de leurs usages et débouchés potentiels, afin de stimuler la création de modèles économiques durables.
- Une réflexion approfondie sur la valorisation des données, en envisageant des approches telles que la création d’une Market Place dédiée ou l’utilisation de solutions Open Source, créer des incitations au partage des données.
- Des recommandations pratiques pour assurer la sécurité et la protection des données agricoles, tout en favorisant leur partage responsable, garantir l’intérêt de l’agriculteur, premier producteur de la donnée.